Newsletter N. 5/25 – Vrai Jésus, vraie chronologie

Je souhaite partager une excellente nouvelle avec tous ceux qui lisent sérieusement Maria Valtorta, et en particulier les dix volumes essentiels de « L’Évangile tel qu’il m’a été révélé ». Le professeur Liberato De Caro a publié sa chronologie savante de la vie de Jésus dans une encyclopédie en ligne consacrée à la mystique de Viareggio (–> LIEN : cliquez ici pour ouvrir la page dans une nouvelle fenêtre).

Cette page est en libre accès et donc accessible à toute personne souhaitant la consulter, quelle qu’en soit la raison.

Il s’agit d’une entreprise très importante pour « L’Évangile » : la quantité impressionnante de données présentes dans le texte atteste de la nature scientifique galiléenne (vérifiable par tous et rigoureusement vérifiable) de l’œuvre de Maria Valtorta. Sur son lit de douleur et de gloire éternelle, elle a écrit et décrit les cieux d’il y a 2 000 ans. La vérification de la véracité de ces descriptions a conduit trois chercheurs – le professeur J. Aulagnier en 1993, l’ingénieur J. F. Lavère en 2012 et le professeur Liberato de Caro en 2016 – à découvrir leur importance sans précédent.

Au moins deux thèmes fondamentaux sont présents : 1) l’œuvre de Valtorta rapporte des détails, scientifiquement vérifiables par tous, qui correspondent précisément à des données de la Terre Sainte à l’époque de Jésus et que l’auteure n’a pu ni connaître ni « inventer », ce qui soulève donc la question de l’origine des écrits eux-mêmes : pourrait-elle être uniquement humaine ? 2- à partir de certaines de ces informations, il est possible de retracer une datation précise des événements survenus dans la vie de Jésus.

Une complication importante se pose concernant la question chronologique : la page française qui lui est consacrée – toujours dans l’encyclopédie en ligne susmentionnée – compare différentes datations possibles, qui diffèrent les unes des autres de quatre ans (–> LIEN : cliquez ici pour ouvrir la page dans une nouvelle fenêtre). Cela dépend du point de départ et de la rigueur de la méthode suivie par les différents chercheurs. Je n’ai pas l’intention de résoudre le problème ici ; je souligne simplement que Lavère lui-même affirme ne pas avoir été précis et que nous devrions prendre en compte ceux qui l’étaient ; c’est pourquoi je suis les études du professeur De Caro, qui a fait de l’exactitude scientifique son point fort.

Une autre difficulté se pose : la chronologie valtortienne décrite avec précision par le professeur De Caro est exprimée à partir des données du calendrier julien, alors que celui que nous utilisons actuellement est le calendrier grégorien (promulgué par le pape Grégoire XIII – dont il tire son nom – le vendredi 15 octobre 1582) : il y a une différence d’une dizaine de jours entre les deux. Pour des explications détaillées, je vous renvoie au lien déjà cité, et bien sûr aux textes du professeur De Caro.

Je note également que des convertisseurs de dates hébraïques sont disponibles en ligne, comme celui-ci :
LIEN VERS LE CONVERTISSEUR DE DATES HÉBRAÏQUES.

En conclusion, rappelons-nous que tout ce que la science confirme au sujet des écrits de Maria Valtorta est de la plus haute importance, tant pour elle que pour nous. Pour elle, car cela signifie qu’elle n’a rien inventé, et nous pouvons de plus en plus affirmer que « le doigt de Dieu est là » ; pour nous, car en reconnaissant cette « fontaine » que Dieu a placée sur notre chemin pour étancher notre soif spirituelle, nous pouvons connaître avec confiance Jésus dans sa très sainte humanité : il est le même Dieu-Homme qui a véritablement parcouru « nos » chemins au cours d’années, de mois et de jours précis, et qui règne désormais glorieusement à travers les âges.

— père Ernesto Zucchini

[Ce texte a été traduit automatiquement par Google Translate]